Et il y a les relevés bancaires pour la somme prêtée.
C’est le lot commun des affaires qui sont traitées par la police en pratique.
Comme déjà dit, que pourrait bien faire la police contre une personne SDF et à l'autre bout du monde ?
Et penser un seul instant qu'un tribunal va condamner par coutumace une personne à l'autre bout du monde, sans domicile fixe, pour 463 euros, c'est décalé.
Cette histoire ne finira jamais au tribunal. Vu les circonstances, elle sera classée sans suite. Dans le pire des cas, un rappel à la loi sera fait.
De plus, quelles valeurs ont les enregistrements ? Je ne suis pas un juriste sur ce sujet, mais il me semble qu'il faudrait qu'ils soient demandés légalement, ou tout au moins que l'ami ait été avisé lors de ceux-ci.
De plus, qu'est ce qui empêchera cet ami de prétendre que ce n'est nullement lui qui a répondu au téléphone ?
Ou de dire : "Monsieur le juge, c'était le prix de la croisière pour leodupré, c'était un échange de bon procédé" ?
Là déjà, cela commence à faire beaucoup pour gagner devant un tribunal ...