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PepeR

Contributeur
Ex-logement social, en vente à prix décoté et mis en copropriété. Avec toutes les emmerdes des copropriétés. Il y avait des bonnes affaires à faire. Mais il faut rester cinq ans pour revendre à bon prix. Ca me semble toutefois une bonne opportunité à ces conditions.

Je suis passé à coté de l'achat d'un trois pièces à Chaville il y a douze ans. Je n'y habitais pas du tout. Valeur 190k, vendu décoté 165k en 2010 avec frais de notaires à 3%. Prix en 2020 270k. Il y avait aussi des opportunités à Montrouge ou Pantin.

Effectivement, il fallait y habiter, mais l'emplacement n'était pas si mal. Et il y a une garantie de rachat au prix. De quoi se consituer un début de patrimoine en bénéficiant de diverses faveurs budgétaires des pouvoirs publics, pour ensuite acheter autre chose. C'est donc une sorte de placement sécurisé à très bon rendement (j'arrivais à 17% nets annuels dans ce cas) si il n'y a pas de travaux majeurs à prévoir et, encore une fois, si on y mène une vie adaptée. Plutôt à 25 ans (avec une vie professionnelle si dense qu'on ne fait que rentrer dormir chez soi) qu'à 45 ans. Je ne suis pas certain toutefois que la décote existe encore. Et les localisations des opportunités sont aléatoires (rien à Paris intramuros).
 

moneymoneymaker

Contributeur régulier
Ça peut effectivement représenter de belles opportunités dans certains cas. Mais il y a tout de même un paquet de facteurs sur lesquels on n'a pas la main qui peuvent rendre l'investissement "pourri"
 

PepeR

Contributeur
Oui, mais ces cygnes noirs se retrouvent aussi dans les autres achats immobiliers. Ancien comme neuf. Surtout avec le contexte actuel d'obligation de rénovation énergétique...
 

PepeR

Contributeur
Au contraire, pour ce type de bien, la clause de rachat au prix initial exclut que l'investissement soit totalement pourri. Il peut être au pire neutre et mauvais.
 
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