Je vous remercie pour toutes vos réponses.
Effectivement, nous n'avions pas privilégié la solution de la vente en viager simple, peut-être par manque de recul sur ce type de montage ou pour des raisons affectives.
Il me semblait que cela ne correspondait pas exactement au besoin de ma mère (et accessoirement impactait plus fortement la succession).
Si on revient à la problématique, ma mère a besoin assez rapidement de liquidités à hauteur de 200k€ et possède son appartement à Paris où elle réside d'une valeur supérieure à 800k€. Il s'agit d'un besoin de trésorerie qui ne concerne ni achat immobilier ni des travaux.
Elle dispose d'une retraite correcte, mais je ne pense pas qu'elle puisse rembourser un échéancier bancaire de 200k€ dans l'hypothèse d'un prêt hypothécaire classique, quand bien même ce produit pourrait lui être proposé.
L'intérêt du PVH était justement l'absence de remboursement de son vivant, en contrepartie des autres aspects plus négatifs.
A la "fin" du viager, il me semble que le patrimoine transmis n'est pas comparable. Mais peut-être est-ce là également que j'ai mal évalué les choses.