Chez moi, jusqu'en 2018, la progression était spectaculaire : fin 2018, la valeur de transfert atteignait 2,3 fois le montant brut des sommes versées fin 1999, soit une performance remarquable, puisqu'avoisinant les 5% l'an.
Avec un tel rendement, il n'y avait donc a priori aucune raison de vouloir sortir de ce contrat, d'autant plus qu'à l'époque, cela ne pouvait se faire que vers un PERP
Mais avec le mode d'évaluation brutalement modifié par Prefon en 2019, la progression n'est plus que de 57,8% sur la même période.
Et là, effectivement, la question d'un transfert vers un contrat moins opaque et plus performant peut se poser.
Mais en fonction de l'âge, des revenus, de la situation patrimoniale et familiale de chacun, la réponse ne peut pas être unique, même si on a tous une grande envie de les envoyer se faire f...!
Personnellement, je pense que je vais demander le versement de la rente même si cela contrarie mes plans qui, initialement, étaient d'attendre encore plusieurs années pour tirer partie de la progression du coefficient d'ajournement, avant de procéder à la liquidation de mes droits.
Mais celui-ci est désormais bloqué - je perds donc de l'argent en ajournant la mise en place de la rente - et la valeur actuelle de mon contrat ne permet plus d'envisager un transfert dans de bonnes conditions.
Cette rente, si elle ne finit pas par être elle-même amputée - les évolutions réglementaires de Prefon montrent que le risque ne peut-être exclu - me permettrait de récupérer l'actuelle valeur de transfert en à peine 14 ans.
De plus, s'agissant de fonds inscrits au compartiment C0, pas besoin d'attendre d'être en retraite pour le faire
Je suis fort irritée de cette situation, mais je n'ai pas d'équivalent ailleurs, a fortiori avec une valeur de transfert brutalement amputée d'un tiers.
N'ayant pas besoin de cette rente pour le moment, je pense replacer les sommes qui me seront versées sur un PER, au moins dans un premier temps, avec, si j'ai bien compris, deux avantages fiscaux à la clef :
- diminution du revenu imposable (qui reste possible y compris lorsque je serai en retraite, dans la limite de 10% du PASS)
- transmission ou déblocage non fiscalisé des capitaux présents sur le PER à mon décès ou, là encore si j'ai bien compris toutes les subtilités du PER, à celui de mon conjoint.
Avec un tel rendement, il n'y avait donc a priori aucune raison de vouloir sortir de ce contrat, d'autant plus qu'à l'époque, cela ne pouvait se faire que vers un PERP
Mais avec le mode d'évaluation brutalement modifié par Prefon en 2019, la progression n'est plus que de 57,8% sur la même période.
Et là, effectivement, la question d'un transfert vers un contrat moins opaque et plus performant peut se poser.
Mais en fonction de l'âge, des revenus, de la situation patrimoniale et familiale de chacun, la réponse ne peut pas être unique, même si on a tous une grande envie de les envoyer se faire f...!
Personnellement, je pense que je vais demander le versement de la rente même si cela contrarie mes plans qui, initialement, étaient d'attendre encore plusieurs années pour tirer partie de la progression du coefficient d'ajournement, avant de procéder à la liquidation de mes droits.
Mais celui-ci est désormais bloqué - je perds donc de l'argent en ajournant la mise en place de la rente - et la valeur actuelle de mon contrat ne permet plus d'envisager un transfert dans de bonnes conditions.
Cette rente, si elle ne finit pas par être elle-même amputée - les évolutions réglementaires de Prefon montrent que le risque ne peut-être exclu - me permettrait de récupérer l'actuelle valeur de transfert en à peine 14 ans.
De plus, s'agissant de fonds inscrits au compartiment C0, pas besoin d'attendre d'être en retraite pour le faire
Je suis fort irritée de cette situation, mais je n'ai pas d'équivalent ailleurs, a fortiori avec une valeur de transfert brutalement amputée d'un tiers.
N'ayant pas besoin de cette rente pour le moment, je pense replacer les sommes qui me seront versées sur un PER, au moins dans un premier temps, avec, si j'ai bien compris, deux avantages fiscaux à la clef :
- diminution du revenu imposable (qui reste possible y compris lorsque je serai en retraite, dans la limite de 10% du PASS)
- transmission ou déblocage non fiscalisé des capitaux présents sur le PER à mon décès ou, là encore si j'ai bien compris toutes les subtilités du PER, à celui de mon conjoint.
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